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Mur de la Treille incorporé au système défensif de la ville, avant de devenir un espace de promenade. | |||
Existant depuis le XVIe siècle, il a servi d'esplanade pour l'observation et le tir. La plate-forme a été élargie et consolidée par un soutènement en pierre après la Réforme (1557) ; on y plante alors des arbres d'essences diverses pour l'embellissement de la cité. Les murs de la rampe actuelle (compris dans le plan général des fortifications) ont été exécutés par étapes successives entre 1707 et 1719. Témoin de l'emplacement des fortifications médiévales, ce mur marque encore nettement le passage de la vieille ville aux espaces urbains créés à l'extérieur de l'enceinte, à la fin du XVIIIe siècle. Restauration en 1986-1987.<ref>Objet classé du canton de Genève, MS-c16[http://ge.ch/geodata/SIPATRIMOINE/SI-EVI-OPS/EVI/edition/objets/2010-24600.htm]</ref>[[Category:Répertoire des immeubles et objets classés Genève]] | |||
Dernière version du 25 février 2019 à 12:17
| voie de communication genevoise
Rampe de la Treille | |
|---|---|
| Longueur: | 215 m. |
| Secteur statistique : | Cité |
| Commune : | Genève |
| Pour aller plus loin : | lien etat.ge.ch |
Mur de la Treille incorporé au système défensif de la ville, avant de devenir un espace de promenade. Existant depuis le XVIe siècle, il a servi d'esplanade pour l'observation et le tir. La plate-forme a été élargie et consolidée par un soutènement en pierre après la Réforme (1557) ; on y plante alors des arbres d'essences diverses pour l'embellissement de la cité. Les murs de la rampe actuelle (compris dans le plan général des fortifications) ont été exécutés par étapes successives entre 1707 et 1719. Témoin de l'emplacement des fortifications médiévales, ce mur marque encore nettement le passage de la vieille ville aux espaces urbains créés à l'extérieur de l'enceinte, à la fin du XVIIIe siècle. Restauration en 1986-1987.[1]
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